Le 12 décembre dernier, nous vous donnions rendez-vous autour de la thématique suivante : « Comment poursuivre le développement du bien-être équin et humain dans nos centres équestres ? ».
Plus que jamais, le bien-être animal, et surtout équin dans notre branche, est dans tous les esprits.
C’est l’ensemble de la filière qui se mobilise pour garantir au mieux le bien-être des équidés de tous les clubs de France métropolitaine. En effet, avec l’évolution des connaissances, des technologies et des réglementations sur les droits des animaux, les choses ont bien évolué pour nos chevaux de club.
➡️Retrouvez la présentation ⬅️
De nombreux sujets ont pu être abordés. Nous avons notamment pu étudier les différents outils qui s’offrent à nos moniteurs afin d’améliorer la vie de nos chevaux de club, mieux les comprendre, prendre en considération leur sensibilité, mieux connaître leurs besoins. Les limites imposées par un milieu de vie urbain ont également été abordées afin de réfléchir à comment en tirer parti et à s’y adapter. Et cela en respectant les besoins primaires de nos équidés.
Des fédérations étrangères, notamment la Suisse, l’Angleterre et la Suède sont intervenues pour nous partager les actions qu’ils ont pu mettre en place dans leur pays.
En fin de journée, plusieurs élus nous ont rejoints. Nous avons accueilli Camille Weber, représentante de Véronique Bertran de Balanda, maire adjointe de Maison-Laffittes, Maurice Chanclud, maire de Longvilliers, Claude Décuypère, maire de Monthyon, Béatrice Piron, députée des Yvelineset Sabrine Ecart, conseillère départementale en charge du bien-être animal. Nous avons pu échanger avec eux autour des difficultés que les structures rencontrent, des attaques par les associations animalistes dont ils peuvent être la cible et réfléchir ensemble à comment nous pouvons tous œuvrer dans le bon sens.